La croissance passe avant tout !

9 Octobre 2014

Ne soyons pas obnubilés par les fameuses contraintes sur la dette et le déficit fixées en 1997 par le Pacte de stabilité et de croissance et allègrement bafouées depuis. Un niveau de 60 % du produit intérieur brut (PIB) était alors jugé excessif. La croissance nominale des pays européens étant estimée à 5 % (une croissance réelle de 3 % accompagnée d'un taux d'inflation de 2 %), un calcul simple (5 % multipliés par 60 %) montre qu'il suffisait alors de limiter le déficit à 3 % pour éviter que la dette ne dépasse ce seuil de 60 %.


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